«Geneva, you lifted me high tonight! Love, Lenny»
Sophia Bischoff - Hier soir, Lenny Kravitz a enflammé l’Arena de Genève nous prouvant ainsi que pour sa part, le rock’n’roll n’est pas mort. En première partie, Raphael Saadiq a ouvert le bal en beauté.
On ne l’avait pas vu venir, mais il semblerait que – consciemment ou non – Lenny Kravitz ait voulu nous montrer toutes (ou presque) les facettes du rock. Première escale, Raphael Saadiq et son dernier album, « Stone Rollin’ ». Les fans de la première heure du chanteur ont certainement dû être quelque peu surpris en entendant la dernière palette de Saadiq. Après avoir habitué son public à des albums très soul et new soul, Raphael a récemment sorti un album aux saveurs importées cette époque où le rock’n’roll reignait en maître dans les chartes. Hier soir, c’est surtout ce côté de son répertoire qu’il a exprimé à l’Arena. Tout en y ajoutant des morceaux de son précédent album (« The Way I See It ») et son très classique « Don’t Mess With My Man » (issu du répertoire du groupe Lucy Pearl dont il est un des fondateurs). Rares sont les premières parties à convaincre aussi vite et aussi bien ! Raphael Saadiq a emporté avec doigté l’audience dans son univers vintage. Solo de guitare, choriste de qualité et le charisme du chanteur ont ravis l’Arena.
21h17. Les lumières s’éteignent à nouveau. Le rideau tombe pour laisser le public découvrir une scène ornée de triangle, d’un énorme écran et les musiciens de l’artiste. Au classique trio basse-batterie-guitare est venu s’ajouter une section de cuivres et des percussions. Le groupe est prêt, les premières notes de « Come on and get it » (du dernier album « Black and White America ») retentissent et Lenny Kravitz apparaît – enfin – sur scène. Nombreuses sont les fans du sexe féminin qui ont perdu leur voix et leur soutien-gorge (au vu des lancés qu’on a pu apercevoir) pendant la performance du rocker. Là où beaucoup de détracteurs affirment que Lenny Kravitz n’est rien d’autre qu’une popstar, on a pu constater hier le côté rock du personnage.
Là où on attendait un set plus axé sur les titres de son nouvel album, Lenny Kravitz a joué la carte du répertoire général. De « My Mama Said » à « American Woman » en passant par « Fly Away », aucun de ses tubes n’a manqué à l’appel provoquant ainsi l’hystérie parmi ses fans. Séducteur sur « Stand By My Woman », Lenny a conquis le cœur de ses dames pour ensuite faire sauter ses messieurs sur « Are you gonna go my way ». L’heure du rappel est arrivée. Le guitariste s’assied sur scène avant d’être rejoint par Kravitz. Les deux se lancent dans une version acoustique de « Push » parsemée d’un solo de saxophone, embellissant le titre issu du dernier album. Le public remercie la rockstar en entonnant en cœur le refrain du morceau « I Belong To You ». Lenny Kravitz met un point final à la soirée avec « Let The Love Rule », titre de son premier album. Final spécial puisqu’il prend le temps de se balader dans la salle. Après un tour dans les gradins, il s’arrête aux près des personnes en chaises roulantes pour danser avec elles. Belle attention ! Au final, le rocker a fait bouger l'Arena comme on le voit rarement et à réussir à offrir un set musical de bonne qualité malgré l'horreur de la qualité sonore de la salle (mon oreille gauche en souffre encore...)
Plus tard dans la soirée, il a exprimé son bonheur post concert genevois sur twitter ; « Geneva, you lifted me high tonight! Love, Lenny ». Nous aussi Lenny, on a aimé !
21h17. Les lumières s’éteignent à nouveau. Le rideau tombe pour laisser le public découvrir une scène ornée de triangle, d’un énorme écran et les musiciens de l’artiste. Au classique trio basse-batterie-guitare est venu s’ajouter une section de cuivres et des percussions. Le groupe est prêt, les premières notes de « Come on and get it » (du dernier album « Black and White America ») retentissent et Lenny Kravitz apparaît – enfin – sur scène. Nombreuses sont les fans du sexe féminin qui ont perdu leur voix et leur soutien-gorge (au vu des lancés qu’on a pu apercevoir) pendant la performance du rocker. Là où beaucoup de détracteurs affirment que Lenny Kravitz n’est rien d’autre qu’une popstar, on a pu constater hier le côté rock du personnage.
Là où on attendait un set plus axé sur les titres de son nouvel album, Lenny Kravitz a joué la carte du répertoire général. De « My Mama Said » à « American Woman » en passant par « Fly Away », aucun de ses tubes n’a manqué à l’appel provoquant ainsi l’hystérie parmi ses fans. Séducteur sur « Stand By My Woman », Lenny a conquis le cœur de ses dames pour ensuite faire sauter ses messieurs sur « Are you gonna go my way ». L’heure du rappel est arrivée. Le guitariste s’assied sur scène avant d’être rejoint par Kravitz. Les deux se lancent dans une version acoustique de « Push » parsemée d’un solo de saxophone, embellissant le titre issu du dernier album. Le public remercie la rockstar en entonnant en cœur le refrain du morceau « I Belong To You ». Lenny Kravitz met un point final à la soirée avec « Let The Love Rule », titre de son premier album. Final spécial puisqu’il prend le temps de se balader dans la salle. Après un tour dans les gradins, il s’arrête aux près des personnes en chaises roulantes pour danser avec elles. Belle attention ! Au final, le rocker a fait bouger l'Arena comme on le voit rarement et à réussir à offrir un set musical de bonne qualité malgré l'horreur de la qualité sonore de la salle (mon oreille gauche en souffre encore...)
Plus tard dans la soirée, il a exprimé son bonheur post concert genevois sur twitter ; « Geneva, you lifted me high tonight! Love, Lenny ». Nous aussi Lenny, on a aimé !
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