Ron Pope : une Sunnegga Session au goût de paradis
Sophia Bischoff - Vendredi 11 avril, Ron Pope a apporté une touche de magie à la soirée du public des Sunnegga Session du Zermatt Unplugged. Retour sur une expérience à 2288 mètres d’altitude.
Avec les Sunnegga Sessions, le Zermatt Unplugged offre une aventure musicale avec vue sur le Cervin. Le voyage commence à 19h30 tapante au bout d’un long tunnel menant au funiculaire. La centaine de privilégiés ayant pu s’offrir un sésame pour cette soirée réunie, le voyage peut commencer. Arrivés à destination, c’est une vue à couper le souffle qui s’offre à nous. Perchée à 2288 mètres d’altitude, la cabane Sunnegga se dévoile timidement sous nos yeux. Ce petit bout d’habitat vit dans un décor nappé de blanc, et porterait presque le rôle d’humble gardien du majestueux Cervin qui se dresse face à nous. Le ciel gris nous empêche de profiter du spectacle de couleur qui se devine dernière les nuages, mais n’enlève rien à la beauté de la nature qui nous entoure.
Après s’être remis du spectacle visuel et de l’apéro au champagne qui l’a accompagné, le public est convié à l’intérieur de la cabane. Place au caractère des restaurants de montagne : chaleur et boiserie accompagnent la gastronomie valaisanne offerte au public. Les yeux brillent, les papilles savourent, un petit coup d’œil à l’extérieur nous donne une piqûre de rappel sur le lieu insolite dans lequel nous nous trouvons ; les étoiles se hissent dans le ciel et enrobent le Cervin d’une lueur mystérieuse.
La dernière étape du voyage se déroule dans une pièce de la cabane qu’on aurait pu confondre avec le salon de l’habitant. Là réside une grande partie du charme de cette soirée. Assis autour d’une petite scène, le public a l’impression de vivre la musique au plus proche de l’artiste. Ron Pope fait son apparition et se lance dans une heure d’interprétation acoustique, tantôt guitare-voix, tantôt piano-voix, de ses compositions. Il revisite ses titres les plus appropriés aux aventures unplugged, et avoue à plusieurs reprises être marqué par le lieu où il se produit. Ron Pope charme le public avec sa douce puissance vocale sur des titres comme « Drop In The Ocean », « Lick My Wound » ou encore « You’re The Reason I Come Home ». Entrecoupé d’anecdotes pleines d’humour, le set de Ron Pope a posé les touches finales parfaites au délice qui a plané sur cette soirée. L’escapade musicale terminée, le funiculaire redescend le public sur terre. La vie reprend son court dans les rues de Zermatt, sans effacer des mémoires ces quelques heures coupées du monde entre Cervin et délice musical.
Après s’être remis du spectacle visuel et de l’apéro au champagne qui l’a accompagné, le public est convié à l’intérieur de la cabane. Place au caractère des restaurants de montagne : chaleur et boiserie accompagnent la gastronomie valaisanne offerte au public. Les yeux brillent, les papilles savourent, un petit coup d’œil à l’extérieur nous donne une piqûre de rappel sur le lieu insolite dans lequel nous nous trouvons ; les étoiles se hissent dans le ciel et enrobent le Cervin d’une lueur mystérieuse.
La dernière étape du voyage se déroule dans une pièce de la cabane qu’on aurait pu confondre avec le salon de l’habitant. Là réside une grande partie du charme de cette soirée. Assis autour d’une petite scène, le public a l’impression de vivre la musique au plus proche de l’artiste. Ron Pope fait son apparition et se lance dans une heure d’interprétation acoustique, tantôt guitare-voix, tantôt piano-voix, de ses compositions. Il revisite ses titres les plus appropriés aux aventures unplugged, et avoue à plusieurs reprises être marqué par le lieu où il se produit. Ron Pope charme le public avec sa douce puissance vocale sur des titres comme « Drop In The Ocean », « Lick My Wound » ou encore « You’re The Reason I Come Home ». Entrecoupé d’anecdotes pleines d’humour, le set de Ron Pope a posé les touches finales parfaites au délice qui a plané sur cette soirée. L’escapade musicale terminée, le funiculaire redescend le public sur terre. La vie reprend son court dans les rues de Zermatt, sans effacer des mémoires ces quelques heures coupées du monde entre Cervin et délice musical.
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