Trip In - Interview
Sophia Bischoff - Après leur concert au Palladium, students.ch a eu l'occasion de discuter quelques minutes avec Maxime et Nadir, du groupe Trip In. Au programme : leurs projets, leur actualité et leur impression sur le concert.
Students.ch : Quelles ont été vos impressions sur le concert de ce soir ?
Maxime : C’était très intense, j’ai de la peine à redescendre du nuage!!! Mais une fois la pression redescendue, on réalise ce qui vient de se passer!! Du bonheur!
Nadir : Ce fut un concert mémorable, un public qui n’était pas conquis d'avance puisqu'il était là pour Ben L'oncle Soul mais nous avons réussi à les embarquer dans notre univers ! Un beau moment de partage, un peu court mais que du bonheur.
Students.ch : On peut voir que vous laissez une bonne place à l'improvisation dans votre set (Maxence qui se défoule à la batterie, Maxime qui se lance à l'harmonica). Est-ce que l'improvisation est, de manière générale lors d'un concert auquel vous assistez et, de manière plus précise à la couleur que vous voulez donner à vos concerts, un élément important ?
Nadir : Oui je pense qu'il est important de surprendre son public et aussi se surprendre soi-même et les autres membres du groupe...ne pas tomber dans une routine et garder cette spontanéité qui pour moi est propre à la scène. Contrairement à l'album qui est une photo (donc figée) le live se doit d'être vivant donc en perpétuel mouvement.
Maxime : oui c'est important. On veut que ce soit vivant! De plus, ces moments nous empêchent aussi de tomber dans une "routine" que l'on pourrait avoir dans un set trop précis et carré, etc...Les parties ouvertes nous rapproches aussi, nous unissent…
Students.ch : Votre nouvel album, « Tomber les masques » est sorti en fin d’année dernière. Est-ce que vous pouvez tirer un premier bilan de cette sortie ?
Nadir : Que du bonheur puisqu’il a bien été reçu par les oreilles suisses et par les médias. C’est un grand plaisir de voir que nos efforts ont payé.
Maxime : Puis on a gagné le prix artistiques de la ville de Nyon pour cet album. Donc on est très content
Students.ch : Et maintenant, la tournée ?
Nadir : Oui ! Des belles dates à venir.
Maxime : Oui, on a plein de belles choses qui arrivent. D’ailleurs, on vient d’apprendre qu’on va jouer au Paléo Festival de Nyon sous le Club Tent. On va également partir au Kirghizstan et au Tadjikistan dans le cadre de la Fête de la Francophonie dans dix jours. On va aussi faire quelques dates régionales ; le Bourg à Lausanne, au Bout-du-monde à Vevey…
Nadir : On a également gagné le tremplin Montjoux et on jouera donc au Montjoux Festival à Thonon-les-bains, le 8 juillet 2011. On sera aussi au Château Rouge d’Annemasse le 13 mai après le concert de La Rumeur.
Students.ch : Parlez-moi un peu de votre voyage au Kirghizstan et au Tadjikistan.
Maxime : Comme l’année dernière, on a été invité par le département du développement et de la coopération (DDC) suisse. Au début, il ne s’agissait que d’aller au Kirghizstan et ensuite ils nous ont aussi proposé d’aller au Tadjikistan. On a dit « ok ! »
Students.ch : Vous avez préparé quelque chose de spécial à cette occasion ?
Maxime : Non, mais on va le faire sur place. On va collaborer avec des musiciens sur place. On va faire une journée de travail avec eux pour le final du festival.
Nadir : On se réjouit de cette rencontre et de partager notre passion pour la musique et la langue française !
Students.ch : Et après, vous prévoyez déjà un nouvel album ?
Maxime : Non pas encore, « Tomber les masques » a encore un bout de route à faire. Et puis, on a vraiment envie d’aller le défendre en France. C’est sur cela qu’on travail.
Nadir : Oui, on aimerait bien trouver un tourneur pour avoir plus de dates en France.
Students.ch : Il y a une année, vous jouiez également au festival « Voix de Fête », en première partie de Oxmo Puccino et d’Hocus Pocus. Quel est votre regard sur l’année qui vient de s’écouler ?
Maxime : La grande différence entre le concert de l’an dernier et celui-là, c’est que ma mère ne connaît ni Oxmo Puccino, ni Hocus Pocus mais elle connaît Ben L’Oncle Soul, qui a donc un public plus large. Et surtout, il y a eu tout un cycle. La tournée en Chine (ndlr : dans le cadre du Festival de la Francophonie au printemps 2010) a été le début de notre dernier album. C’est à ce moment là qu’on s’est mis à vraiment travailler dessus. Là, on est dans la deuxième moitié ; l’album est fait et on va le défendre maintenant.
Nadir : On a fait l’album, on a pu faire des vernissages. Et surtout, ça nous a fait plaisir de voir qu’on pouvait remplir une salle comme le D ! Club pour le vernissage sans jouer avant ou après un autre groupe.
Pour plus d'info sur leurs prochaines dates, c'est par ici.
Maxime : C’était très intense, j’ai de la peine à redescendre du nuage!!! Mais une fois la pression redescendue, on réalise ce qui vient de se passer!! Du bonheur!
Nadir : Ce fut un concert mémorable, un public qui n’était pas conquis d'avance puisqu'il était là pour Ben L'oncle Soul mais nous avons réussi à les embarquer dans notre univers ! Un beau moment de partage, un peu court mais que du bonheur.
Students.ch : On peut voir que vous laissez une bonne place à l'improvisation dans votre set (Maxence qui se défoule à la batterie, Maxime qui se lance à l'harmonica). Est-ce que l'improvisation est, de manière générale lors d'un concert auquel vous assistez et, de manière plus précise à la couleur que vous voulez donner à vos concerts, un élément important ?
Nadir : Oui je pense qu'il est important de surprendre son public et aussi se surprendre soi-même et les autres membres du groupe...ne pas tomber dans une routine et garder cette spontanéité qui pour moi est propre à la scène. Contrairement à l'album qui est une photo (donc figée) le live se doit d'être vivant donc en perpétuel mouvement.
Maxime : oui c'est important. On veut que ce soit vivant! De plus, ces moments nous empêchent aussi de tomber dans une "routine" que l'on pourrait avoir dans un set trop précis et carré, etc...Les parties ouvertes nous rapproches aussi, nous unissent…
Students.ch : Votre nouvel album, « Tomber les masques » est sorti en fin d’année dernière. Est-ce que vous pouvez tirer un premier bilan de cette sortie ?
Nadir : Que du bonheur puisqu’il a bien été reçu par les oreilles suisses et par les médias. C’est un grand plaisir de voir que nos efforts ont payé.
Maxime : Puis on a gagné le prix artistiques de la ville de Nyon pour cet album. Donc on est très content
Students.ch : Et maintenant, la tournée ?
Nadir : Oui ! Des belles dates à venir.
Maxime : Oui, on a plein de belles choses qui arrivent. D’ailleurs, on vient d’apprendre qu’on va jouer au Paléo Festival de Nyon sous le Club Tent. On va également partir au Kirghizstan et au Tadjikistan dans le cadre de la Fête de la Francophonie dans dix jours. On va aussi faire quelques dates régionales ; le Bourg à Lausanne, au Bout-du-monde à Vevey…
Nadir : On a également gagné le tremplin Montjoux et on jouera donc au Montjoux Festival à Thonon-les-bains, le 8 juillet 2011. On sera aussi au Château Rouge d’Annemasse le 13 mai après le concert de La Rumeur.
Students.ch : Parlez-moi un peu de votre voyage au Kirghizstan et au Tadjikistan.
Maxime : Comme l’année dernière, on a été invité par le département du développement et de la coopération (DDC) suisse. Au début, il ne s’agissait que d’aller au Kirghizstan et ensuite ils nous ont aussi proposé d’aller au Tadjikistan. On a dit « ok ! »
Students.ch : Vous avez préparé quelque chose de spécial à cette occasion ?
Maxime : Non, mais on va le faire sur place. On va collaborer avec des musiciens sur place. On va faire une journée de travail avec eux pour le final du festival.
Nadir : On se réjouit de cette rencontre et de partager notre passion pour la musique et la langue française !
Students.ch : Et après, vous prévoyez déjà un nouvel album ?
Maxime : Non pas encore, « Tomber les masques » a encore un bout de route à faire. Et puis, on a vraiment envie d’aller le défendre en France. C’est sur cela qu’on travail.
Nadir : Oui, on aimerait bien trouver un tourneur pour avoir plus de dates en France.
Students.ch : Il y a une année, vous jouiez également au festival « Voix de Fête », en première partie de Oxmo Puccino et d’Hocus Pocus. Quel est votre regard sur l’année qui vient de s’écouler ?
Maxime : La grande différence entre le concert de l’an dernier et celui-là, c’est que ma mère ne connaît ni Oxmo Puccino, ni Hocus Pocus mais elle connaît Ben L’Oncle Soul, qui a donc un public plus large. Et surtout, il y a eu tout un cycle. La tournée en Chine (ndlr : dans le cadre du Festival de la Francophonie au printemps 2010) a été le début de notre dernier album. C’est à ce moment là qu’on s’est mis à vraiment travailler dessus. Là, on est dans la deuxième moitié ; l’album est fait et on va le défendre maintenant.
Nadir : On a fait l’album, on a pu faire des vernissages. Et surtout, ça nous a fait plaisir de voir qu’on pouvait remplir une salle comme le D ! Club pour le vernissage sans jouer avant ou après un autre groupe.
Pour plus d'info sur leurs prochaines dates, c'est par ici.
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