Ambiance pop sous le chapiteau !
Anaelle Morf - Le jeune Bastian Baker, coup de cœur de Caprices, a prouvé vendredi 8 avril, qu’il n’avait pas que sa « gueule d’ange » pour plaire. Caprices voulait lui donner une scène à la hauteur de son talent. A-t-il su gérer la pression, et offrir un spectacle digne de ces attentes ?
Donc désolé de vous décevoir les filles, mais ce n’est pas le « Justin Bieber » suisse. Au contraire, Bastian nous montre bien qu’il n’a rien à voir avec lui, que sa musique aux teints pop/folk, avec des mélodies faciles à retenir, peut être appréciée par tout le monde.
Il fut une des révélations de cette huitième édition du Caprices Festival et fit une performance digne d’un grand artiste. Eh oui, il faut d’abord commencé par être un « petit » artiste, avant de devenir grand, même si pour lui tout a commencé un peu à l’envers. Il a bientôt 20 ans, et a déjà joué sur la grande scène du chapiteau, où il a réussi à faire bouger toute la salle. En plus, il y avait pratiquement plus de monde que pour le concert de Julian Perretta… !
Il a interprété son premier single « Lucky », ainsi que d’autres chansons, avec fraicheur et sensibilité. Il voit la vie d’un œil différent, sincère, et nous le fait partager à travers ses textes et mélodie. Son style nous fait deviner l’influence de James Blunt et Jack Johnson…
Pour ceux qui ne connaissent pas, vous pouvez aller jeter un coup d’œil sur le site http://www.bastianbaker.ch/ et pour les intéressés, son album sortira cet été !
Clarissa Emery et Anaelle Morf