Une soirée melting-pot à Montreux
Sophia Bischoff - Jeudi soir, le Montreux Jazz Festival a vibré aux rythmes de la soul, du rock, de la pop/folk. Tout un programme.
En début de soirée, le Miles Davis Hall a acceuillit le Duwala Malambo Project. Composé notamment de Richard Bona et Raul Midon, le groupe a offert une soirée alliant sonorités soul et exotiques. Dans l’alliance des deux musiciens résidait l’équilibre de leur art. Richard Bona et Raul Midon ont pris soin, tout au long de la soirée, d’ajouter des épices bienvenues aux compositions jouées qu’elles soient issues des répertoires de l’un ou de l’autre.
Pendant ce temps, l’Auditorium Stravinski a recu une claque musicale avec la protégé de Brian Mc Gee (l’ancier batteur de Simple Minds), Carly Connor. Originaire de Glasgow, la chanteuse étonne par la puissance de sa voix et l’énergie qu’elle progète sur scène. Un timbre à mi-chemin entre l’âme du rock et de la soul qui vous donne des frissons dès qu’il parvient à vos oreilles. Une musique qui elle se positionne au pays du rock et vous donne une perfusion d’énergie dans le sang. Jeudi soir, Carly Connor a convaincu le public du Montreux Jazz Festival et s’est ouverte les portes du succès. Il ne lui reste plus qu’à la traverser.
Après cette découverte musicale, l’Auditorium Stravinski a frissoné au son d’une des grandes voix de la soul. Chaka Khan et sa crignère de lionne ont offert une performance vocalement impressionnante. N’hésitant pas à partager ses anecdotes de compositions (elle nous a d’ailleurs avouée avoir écrit une chanson sur l’amour de dieu alors qu’elle était sous l’effet de la marijuana) et à papoter avec Quincy Jones entre deux morceaux, Chaka Khan a traversée le Montreux Jazz tel un rayon de soleil.
La dernière partie de soirée a été assurée par l’écossais le plus aimé des jeunes européennes, Paulo Nutini. Malgré son image de « chanteuse à groupie », Paulo Nutini impressionne par son talent. Compositions simples mais à la fois rafinées par l’influence des sonorités de la Nouvelle-Orléan font que son image s’est surplombée par la qualité de sa musique et de sa performance scénique.
Pendant ce temps, l’Auditorium Stravinski a recu une claque musicale avec la protégé de Brian Mc Gee (l’ancier batteur de Simple Minds), Carly Connor. Originaire de Glasgow, la chanteuse étonne par la puissance de sa voix et l’énergie qu’elle progète sur scène. Un timbre à mi-chemin entre l’âme du rock et de la soul qui vous donne des frissons dès qu’il parvient à vos oreilles. Une musique qui elle se positionne au pays du rock et vous donne une perfusion d’énergie dans le sang. Jeudi soir, Carly Connor a convaincu le public du Montreux Jazz Festival et s’est ouverte les portes du succès. Il ne lui reste plus qu’à la traverser.
Après cette découverte musicale, l’Auditorium Stravinski a frissoné au son d’une des grandes voix de la soul. Chaka Khan et sa crignère de lionne ont offert une performance vocalement impressionnante. N’hésitant pas à partager ses anecdotes de compositions (elle nous a d’ailleurs avouée avoir écrit une chanson sur l’amour de dieu alors qu’elle était sous l’effet de la marijuana) et à papoter avec Quincy Jones entre deux morceaux, Chaka Khan a traversée le Montreux Jazz tel un rayon de soleil.
La dernière partie de soirée a été assurée par l’écossais le plus aimé des jeunes européennes, Paulo Nutini. Malgré son image de « chanteuse à groupie », Paulo Nutini impressionne par son talent. Compositions simples mais à la fois rafinées par l’influence des sonorités de la Nouvelle-Orléan font que son image s’est surplombée par la qualité de sa musique et de sa performance scénique.
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