Reggae'n'Roll @ Rock Oz'
Sophia Bischoff - Reggae, émotions et rock étaient au programme dans l’arène d’Avenches ce vendredi. Stephen Marley, Rodrigo y Gabriela et Ben Harper ont propagé leur musique à Rock Oz Arènes.
Il semblerait que la pluie adore taquiner la « tournée » des open-airs de students.ch. Après un Paléo dans la boue et sous l’eau, c’est une réelle douche qui m’a accueillit lors de mon arrivée au village d’Avenches. Malgré le temps de ce début de soirée, le charme d’Avenches a réchauffé les corps tremblant de froid du public se pressant d’entrer dans l’arène. Quand j’arrive sur place, il est difficile d’imaginer qu’un festival a lieu ici. La pierre qui constitue les maisons des alentours des arènes semblent vieilles et pleines d’histoires. Je me surprends à me balader, me perdre un peu dans ses petites rues qui se ressembles. C’est certain, le charme du village suisse fait son effet. Après les rêveries, vient le moment de la musique.
En première partie de soirée, Stephen Marley a bercé l’arène d’Avenches de son doux reggae. Malgré sa conviction, le musicien n’a pas réussi à emporter le public avec lui et l’ambiance est restée très calme durant son concert. Le tout a été rehaussé par ses reprises des classiques de son père, Bob Marley. Avec des titres comme « Three Little Bird » ou encore « Buffalo Soldier », Stephen a réussi à donner un petit goût de la légende jamaïcaine au public de Rock Oz Arènes. Peu après, c’est le duo mexicain Rodrigo y Gabriela qui a réchauffer les cœurs de la 20ème éditions du festival.
23h45, Ben Harper a pris possession de l’arène. Accompagné du groupe Relentless 7, le californiens a saupoudré le public des nombreuses facettes de sa musique durant à peu près une heure quarante-cinq de concert. Venu pour présenter son dernier album « Give ‘till it’s gone », Ben Harper a aussi joué un répertoire recouvrant une grande partie de sa discographie. Dès le début de leur set, le groupe prend le public et l’emporte dans son monde. Un Ben Harper certes beaucoup plus rock que d’habitude que les fans de la première heure ne reconnaitront pas forcément tout le temps, mais un Ben Harper qui semble épanouis et libre. Chose peu commune, c’est dès en première partie du concert que le californiens offre la parole à ses musiciens. Sur « Lay there and hate me », le batteur, le bassiste et le guitariste se lancent dans des solos de qualité même si parfois un peu long.
Après un « Diamonds on the inside » repris en cœur par l’arène, Ben nous annonce qu’il va nous jouer un nouveau titre. Ce morceau, intitulé « Masterpiece », Ben Harper l’enregistre pour la première sur la scène de Rock Oz Arènes. Un beau cadeau d’anniversaire pour les 20 ans du festivals. Seul à la guitare, on a alors le sentiment de retrouver le Ben Harper qui envoûtait avec ses balades comme « Walk Away » ou « Forever ». Sa voix posée raconte l’amour avec douceur et répète que « lovin’ you is my masterpiece » (« t’aimer est mon chef-d’œuvre »). Le morceau se termine et Ben continue avec « Waiting on an angel ».
A plusieurs reprise, Ben Harper prend le temps d’observer le lieu dans lequel il se produit. Pour sa première fois ici, le musicien est impression par l’endroit. Sur scène, il s’éclate et partage son énergie avec le public. En guise de conclusion, Ben Harper & the Relentless 7 nous joue un moreau écrit quatre jours auparavant. Il remercie encore et encore alors que le public reprend en cœur « You’re better than I deserve », le refrain de ce dernier titre. Quant à nous, c'est sur la vidéo de cette nouvelle chanson que l'on se quitte.
En première partie de soirée, Stephen Marley a bercé l’arène d’Avenches de son doux reggae. Malgré sa conviction, le musicien n’a pas réussi à emporter le public avec lui et l’ambiance est restée très calme durant son concert. Le tout a été rehaussé par ses reprises des classiques de son père, Bob Marley. Avec des titres comme « Three Little Bird » ou encore « Buffalo Soldier », Stephen a réussi à donner un petit goût de la légende jamaïcaine au public de Rock Oz Arènes. Peu après, c’est le duo mexicain Rodrigo y Gabriela qui a réchauffer les cœurs de la 20ème éditions du festival.
23h45, Ben Harper a pris possession de l’arène. Accompagné du groupe Relentless 7, le californiens a saupoudré le public des nombreuses facettes de sa musique durant à peu près une heure quarante-cinq de concert. Venu pour présenter son dernier album « Give ‘till it’s gone », Ben Harper a aussi joué un répertoire recouvrant une grande partie de sa discographie. Dès le début de leur set, le groupe prend le public et l’emporte dans son monde. Un Ben Harper certes beaucoup plus rock que d’habitude que les fans de la première heure ne reconnaitront pas forcément tout le temps, mais un Ben Harper qui semble épanouis et libre. Chose peu commune, c’est dès en première partie du concert que le californiens offre la parole à ses musiciens. Sur « Lay there and hate me », le batteur, le bassiste et le guitariste se lancent dans des solos de qualité même si parfois un peu long.
Après un « Diamonds on the inside » repris en cœur par l’arène, Ben nous annonce qu’il va nous jouer un nouveau titre. Ce morceau, intitulé « Masterpiece », Ben Harper l’enregistre pour la première sur la scène de Rock Oz Arènes. Un beau cadeau d’anniversaire pour les 20 ans du festivals. Seul à la guitare, on a alors le sentiment de retrouver le Ben Harper qui envoûtait avec ses balades comme « Walk Away » ou « Forever ». Sa voix posée raconte l’amour avec douceur et répète que « lovin’ you is my masterpiece » (« t’aimer est mon chef-d’œuvre »). Le morceau se termine et Ben continue avec « Waiting on an angel ».
A plusieurs reprise, Ben Harper prend le temps d’observer le lieu dans lequel il se produit. Pour sa première fois ici, le musicien est impression par l’endroit. Sur scène, il s’éclate et partage son énergie avec le public. En guise de conclusion, Ben Harper & the Relentless 7 nous joue un moreau écrit quatre jours auparavant. Il remercie encore et encore alors que le public reprend en cœur « You’re better than I deserve », le refrain de ce dernier titre. Quant à nous, c'est sur la vidéo de cette nouvelle chanson que l'on se quitte.
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