Paléo J1 - C’est parti !
Sophia Bischoff - Comme chaque année, le Paléo Festival de Nyon propose une programmation composée de la crème des musiques actuelles ; superstars et découvertes internationales ou « made in Switzerland » vont se succéder sur les différentes scène de la Plaine de l’Asse à un rythme soutenu jusqu’à dimanche...
Tout en garadant le même cap et le festivalier au centre de ses préoccupations, le festival nyonnais aborde quelques changement cette année. Le Châpiteau, faisant alors parti des lieux couverts du festival, tombe le couvre-chef et devient une scène Openair sombrement nommée les « Arches ». Le Détour, dédié aux découvertes, est agrandi. Le Club Tent, quant à lui, prendra en majorité les talents helvétiques sous son aile.
C’est la Suissesse Sophie Hunger qui a ouvert le marathon de concerts qui se tiendra toute la semaine sur la Grande Scène du Paléo. Un honneur pour cette jeune artiste qui commence à prendre du galon sur la scène musicale helvétique et européenne. Sous un soleil de plomb, la bernoise a séduit le public du bout de sa voix folk emprunte d’une profondeur blues. A l’aise au piano, à la guitare, en français, en anglais et en suisse-allemand, Sophie Hunger a prouvé qu’elle porte haut le drapeau de l’identité musciale suisse ; une identité multiculturelle et talentueuse.
Dès les premières notes, les Parisiens de Phoenix ont subjugé le public avec des rythmes mélodieux et entrainant. Exit la puissante douceur de Sophie Hunger, les haut-parleurs se sont mis à cracher des décibels de bon vieux rock par tonnes. Les français, pourtant habitués aux scènes démesurées comme celle des festivals de Coachella (Californie) et de Primavera (Barcelone), n’ont eu aucun mal à conquérir le public nyonnais.
Entre ces deux premières aventures musicales de la Grande Scène, les Arches ont acceuilli une des musiciennes les plus prometteuses de la scène pop/folk française ; Lou Doillon. Après avoir sorti, « Places », un premier album bien accueillit par la critique, la fille de Jane Birkin et Jacques Doillon a prouvé qu’être « fille de » pouvait rimer avec talent. Sur la scène sur Paléo, elle a envouté l’audience avec des compositions empruntes de douceur, d’intensité, de voyage et d’une bittersweetpuissance. Un vrai délice.
Le concert tant attendu de Neil Young & Crazy Horse a commencé sur les coups de 23 heures. L’énergie torturée de la légende canadienne du folk/rock a pris place sur la plaine de l'Asse devant une audience conquise d’avance. Au bout d’une heure, le public était plus que jamais sous le charme des riffs et de la voix torturé de Neil Young. Dans un prélude aux allures de transe, le canadien et son groupe ont entonné un « No Rain ! » enragé et énergétique qui a eu pour ironique effet d’attirer un orage si impressionnant qu’il a provoqué l’annulation du concert de Gesaffelstein Live.
Paléo a servit une première soirée de qualité qui a permis aux spectateurs de voyager des horizons hauts en couleurs et remplis d’émotions. Pour le reste, rendez-vous sur Students.ch pour suivre la suite de nos aventures au festival nyonnais.
1500 billets seront en vente chaque matin dès 9h00 dans les points de vente Ticketcorner. Aucun billet ne sera vendu sur place.
Sophia Bischoff et Laurent Reichenbach
C’est la Suissesse Sophie Hunger qui a ouvert le marathon de concerts qui se tiendra toute la semaine sur la Grande Scène du Paléo. Un honneur pour cette jeune artiste qui commence à prendre du galon sur la scène musicale helvétique et européenne. Sous un soleil de plomb, la bernoise a séduit le public du bout de sa voix folk emprunte d’une profondeur blues. A l’aise au piano, à la guitare, en français, en anglais et en suisse-allemand, Sophie Hunger a prouvé qu’elle porte haut le drapeau de l’identité musciale suisse ; une identité multiculturelle et talentueuse.
Dès les premières notes, les Parisiens de Phoenix ont subjugé le public avec des rythmes mélodieux et entrainant. Exit la puissante douceur de Sophie Hunger, les haut-parleurs se sont mis à cracher des décibels de bon vieux rock par tonnes. Les français, pourtant habitués aux scènes démesurées comme celle des festivals de Coachella (Californie) et de Primavera (Barcelone), n’ont eu aucun mal à conquérir le public nyonnais.
Entre ces deux premières aventures musicales de la Grande Scène, les Arches ont acceuilli une des musiciennes les plus prometteuses de la scène pop/folk française ; Lou Doillon. Après avoir sorti, « Places », un premier album bien accueillit par la critique, la fille de Jane Birkin et Jacques Doillon a prouvé qu’être « fille de » pouvait rimer avec talent. Sur la scène sur Paléo, elle a envouté l’audience avec des compositions empruntes de douceur, d’intensité, de voyage et d’une bittersweetpuissance. Un vrai délice.
Le concert tant attendu de Neil Young & Crazy Horse a commencé sur les coups de 23 heures. L’énergie torturée de la légende canadienne du folk/rock a pris place sur la plaine de l'Asse devant une audience conquise d’avance. Au bout d’une heure, le public était plus que jamais sous le charme des riffs et de la voix torturé de Neil Young. Dans un prélude aux allures de transe, le canadien et son groupe ont entonné un « No Rain ! » enragé et énergétique qui a eu pour ironique effet d’attirer un orage si impressionnant qu’il a provoqué l’annulation du concert de Gesaffelstein Live.
Paléo a servit une première soirée de qualité qui a permis aux spectateurs de voyager des horizons hauts en couleurs et remplis d’émotions. Pour le reste, rendez-vous sur Students.ch pour suivre la suite de nos aventures au festival nyonnais.
1500 billets seront en vente chaque matin dès 9h00 dans les points de vente Ticketcorner. Aucun billet ne sera vendu sur place.
Sophia Bischoff et Laurent Reichenbach
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