Damien Rice @ Montreux Jazz Festival
Sophia Bischoff - Mardi 7 juillet, le Montreux Jazz Festival accueillera le prodige du folk irlandais Damien Rice.
Miracle. Si l’on devait annoncer la venue de Damien Rice au Montreux Jazz Festival par un seul terme, c’est celui-ci qui s’imposerait. L’attente fût longue mais le retour de l’artiste sur le devant de la scène a bien valu le sacrifice du temps. Après avoir vécu le succès colossal de son premier album, « O » (sorti en 2002), et sorti « 9 » en 2006, l’irlandais a posé plume et guitare. Il a fallut neuf ans à Damien pour guérir sa prose de la rupture musicale avec la chanteuse Lisa Hannigan et emplir de notes la page blanche qui en a résulté.
Neuf ans. Neuf ans d’attente, de questionnement, de remise en question. Puis, il sort du brouillard et dépose en toute simplicité une troisième galette, « My Favourite Faded Fantasy », dans la bibliothèque musicale de l’automne 2014. Huit pistes composent l’album. Pas une note de plus n’aurait été nécessaire pour embellir l’opus. Le voyage s’ouvre sur le titre éponyme de l’album. Une légère brise de mélancolie prend l’auditeur. Et pas n’importe laquelle ; on parle de celle qui fait de Damien Rice l’un des songwriter les plus délicieusement sensible et doué de sa génération. Tout en finesse, il nous emporte dans la magie de sa nostalgie. Son timbre fragile guide et envoûte l'auditeur. Rice se lâche parfois à la fureur (« My Favourite Faded Fantasy », « It Takes a Lot To Know a Man »). Le piano s’entremêle subtilement à sa charismatique alliance guitare-voix. Des nappes de violon s’invitent en légèreté, comme sur le touchant « I Don’t Wanna Change You », apportant ainsi un savoureux grain aérien à son œuvre. Ses balades profondément émouvantes restent le fil conducteur de son troisième album, à l’image de l’œuvre musical de Damien Rice.
Neuf ans. C’est le temps qu’il a fallut attendre pour découvrir le troisième miracle de Damien Rice, entre déchirement et nostalgie salvatrice. Le 7 juillet prochain, c’est sur la scène de l’Auditorium Stravinski que l’irlandais posera sa magie. Un moment de bonheur guitare-voix éphémère à ne louper sous aucuns prétextes.
Informations et billetterie : Montreux Jazz Festival
Neuf ans. Neuf ans d’attente, de questionnement, de remise en question. Puis, il sort du brouillard et dépose en toute simplicité une troisième galette, « My Favourite Faded Fantasy », dans la bibliothèque musicale de l’automne 2014. Huit pistes composent l’album. Pas une note de plus n’aurait été nécessaire pour embellir l’opus. Le voyage s’ouvre sur le titre éponyme de l’album. Une légère brise de mélancolie prend l’auditeur. Et pas n’importe laquelle ; on parle de celle qui fait de Damien Rice l’un des songwriter les plus délicieusement sensible et doué de sa génération. Tout en finesse, il nous emporte dans la magie de sa nostalgie. Son timbre fragile guide et envoûte l'auditeur. Rice se lâche parfois à la fureur (« My Favourite Faded Fantasy », « It Takes a Lot To Know a Man »). Le piano s’entremêle subtilement à sa charismatique alliance guitare-voix. Des nappes de violon s’invitent en légèreté, comme sur le touchant « I Don’t Wanna Change You », apportant ainsi un savoureux grain aérien à son œuvre. Ses balades profondément émouvantes restent le fil conducteur de son troisième album, à l’image de l’œuvre musical de Damien Rice.
Neuf ans. C’est le temps qu’il a fallut attendre pour découvrir le troisième miracle de Damien Rice, entre déchirement et nostalgie salvatrice. Le 7 juillet prochain, c’est sur la scène de l’Auditorium Stravinski que l’irlandais posera sa magie. Un moment de bonheur guitare-voix éphémère à ne louper sous aucuns prétextes.
Informations et billetterie : Montreux Jazz Festival
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