FFS x FOR NOISE FESTIVAL
Sophia Bischoff - Du 20 au 22 août dernier, Pully a revêtit ses plus beaux habits musicaux pour accueillir son désormais traditionnel For Noise Festival. Retour sur la soirée d’ouverture.
Niché au bord d'une rivière, le For Noise Festival se dévoile au bout d’un petit chemin aux allures de campagne. De nuit, les lumières charment et envoûtent festivaliers en tout genre. Les effluves de nature s’entremêlent peu à peu aux caractéristiques de concerts. Point d’artifices détonnant, le tout s’apprête avec harmonie. Comme si l’ADN du lieu était prédestiné à accueillir le rendez-vous de fin d’été. Entre bars, scène et stands gourmands, festivaliers et festivalières se promènent ou se détendent sur la petite colline du terrain. Ce soir, la foule se réunit pour la tête d'affiche du week-end : FFS.
FFS. Trois lettres. Sobriété. Derrière cet acronyme se cache la réunion de deux groupes au talent déjà établit : les écossais de Franz Ferdinand et les californiens de Sparks. Milieu des années 2000, FFS commence à enregistrer des titres. Un processus qui a pris son temps. Ce n’est que cette année que les créations de cette union sont apparues à l’ouïe du public au travers d’un album éponyme. Fidèle tête d’affiche du For Noise, Franz Ferdinand a une fois de plus choisi le festival de Pully pour présenter sa nouvelle prose musicale.
Très attendu des fans et mélomanes, le concert de FFS a pris des allures de vagues ; tantôt douce et calme, tantôt fervente et énergique. Un dynamisme constant qui ne tarde pas à emporter le festival dans sa danse. Que ce soit lors des titres du super-groupe ou dans le répertoire propre aux deux entités. Malgré le sentiment ambiant de bonheur face au concert de ce projet spécial, l’air portait une poussière de regret. Un regret symbolisant la nostalgie face à l’absence de l’habituelle intensité scénique teintée de ce « je ne sais quoi » qui fait la patte de Franz Ferdinand. Un regret estompé lorsque les écossais entonnent avec passion leur célèbre « Take Me Out ».
Les derniers riffs retentissent. FFS quitte les planches. Fin du moment suspendu dans les aires. Les festivaliers s’éparpillent. Certains rejoignent la douceur de leurs rêves, d’autres terminent la première nuit avec le For Noise et sa silent party. A l’année prochaine !
FFS. Trois lettres. Sobriété. Derrière cet acronyme se cache la réunion de deux groupes au talent déjà établit : les écossais de Franz Ferdinand et les californiens de Sparks. Milieu des années 2000, FFS commence à enregistrer des titres. Un processus qui a pris son temps. Ce n’est que cette année que les créations de cette union sont apparues à l’ouïe du public au travers d’un album éponyme. Fidèle tête d’affiche du For Noise, Franz Ferdinand a une fois de plus choisi le festival de Pully pour présenter sa nouvelle prose musicale.
Très attendu des fans et mélomanes, le concert de FFS a pris des allures de vagues ; tantôt douce et calme, tantôt fervente et énergique. Un dynamisme constant qui ne tarde pas à emporter le festival dans sa danse. Que ce soit lors des titres du super-groupe ou dans le répertoire propre aux deux entités. Malgré le sentiment ambiant de bonheur face au concert de ce projet spécial, l’air portait une poussière de regret. Un regret symbolisant la nostalgie face à l’absence de l’habituelle intensité scénique teintée de ce « je ne sais quoi » qui fait la patte de Franz Ferdinand. Un regret estompé lorsque les écossais entonnent avec passion leur célèbre « Take Me Out ».
Les derniers riffs retentissent. FFS quitte les planches. Fin du moment suspendu dans les aires. Les festivaliers s’éparpillent. Certains rejoignent la douceur de leurs rêves, d’autres terminent la première nuit avec le For Noise et sa silent party. A l’année prochaine !
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