Florence + The Machine x Hallenstadion Zurich
Sophia Bischoff - Samedi 19 décembre 2015, Florence + The Machine et leur « How Big Tour » ont déposé leur chimère harmonique au Hallenstadion zurichois.
À l’aube des premières chaleurs estivales, Florence + The Machine dévoilent leur dernière création : « How Big, How Blue, How Beautiful ». Évoluant désormais aux frontières des envolées cosmiques auxquelles ils nous avaient habitué, cette palette baigne dans une légère atmosphère unplugged. Le son est plus brute, tout en embrassant délicatesse et volupté. Les textes semblent encore plus nés dans un autre monde, tout en gardant cet effluve percutant qui déroute. Leurs harmonies, même si elles semblent avoir pris une nouvelle route, gardent en elles cette subtile puissance qui porte le timbre aérien et caractériel de Florence Welsh. "How Big, How Blue, How Beautiful" sonne comme l'album d'une nouvelle maturité ; une profondeur musicale qui accueille avec perfection les tourments émotionnels de Florence Welsh.
Dernier souffle de l’année, Florence + The Machine pose amplis et instruments dans l’imposant Hallenstadion zurichois. Milieu de soirée, la scène se dissimule dernière des rideaux rouges velours et dégage déjà l’arôme cosmique des déviances musicales qui s’apprêtent à l’envahir. Ce n’est pas un moment commun qui arrive, mais bel et bien une tempête où la musicologie prend tout son sens. Puissance, délivrance, envoûtement résument le voyage scénique du groupe anglais. Rien n’est à prévoir, tout est à découvrir. Charismatique performer, Florence Welsh incarne l’aura et l’esprit extravagant d’un petit bout de femme qui expulse bonheur et douleur par la musique, le tout derrière un spectre « Flower Power ». Son look, son phrasé velouté et son discours la dévoile comme un être d’un autre monde qui se joue des codes et n’hésite pas à emporter son grain de folie dans le public pour lui offrir un audacieux « Rabbit Heart ».
Audience conquise dans une salle comble savoure l’univers particulier de Florence + The Machine. Un univers au corps studio profond qui embrasse une dimension intense et hors du temps lorsqu’il est transporté sur scène. Les harmonies sont transcendées en live. Performances de fin d’année terminées, Florence + The Machine reprendront la route en 2016 pour une tournée qui passera par l’Amérique Latine et les Etats-Unis avant de revenir se dévoiler en Europe.
Photos : Usgang.ch
Dernier souffle de l’année, Florence + The Machine pose amplis et instruments dans l’imposant Hallenstadion zurichois. Milieu de soirée, la scène se dissimule dernière des rideaux rouges velours et dégage déjà l’arôme cosmique des déviances musicales qui s’apprêtent à l’envahir. Ce n’est pas un moment commun qui arrive, mais bel et bien une tempête où la musicologie prend tout son sens. Puissance, délivrance, envoûtement résument le voyage scénique du groupe anglais. Rien n’est à prévoir, tout est à découvrir. Charismatique performer, Florence Welsh incarne l’aura et l’esprit extravagant d’un petit bout de femme qui expulse bonheur et douleur par la musique, le tout derrière un spectre « Flower Power ». Son look, son phrasé velouté et son discours la dévoile comme un être d’un autre monde qui se joue des codes et n’hésite pas à emporter son grain de folie dans le public pour lui offrir un audacieux « Rabbit Heart ».
Audience conquise dans une salle comble savoure l’univers particulier de Florence + The Machine. Un univers au corps studio profond qui embrasse une dimension intense et hors du temps lorsqu’il est transporté sur scène. Les harmonies sont transcendées en live. Performances de fin d’année terminées, Florence + The Machine reprendront la route en 2016 pour une tournée qui passera par l’Amérique Latine et les Etats-Unis avant de revenir se dévoiler en Europe.
Photos : Usgang.ch
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