Cat Power captive le Montreux Jazz Lab !
Sophia Bischoff - Le 2 juillet dernier, le Lab du Montreux Jazz Festival a offert un moment entre groove multi-influences et douceur folk déroutante.
Deux concerts, deux univers aux antipodes complémentaires. Telle est la proposition du 2 juillet au Montreux Jazz Lab. Et quelle proposition ! Chaque moment du soir offre une possibilité d’envoûtement : tantôt par des harmonies aux odeurs mystiques, tantôt par une voix qui chatouille les tripes.
Créé par Khruangbin, le premier voyage du soir a été composé de multiples influences musicales. Leur point commun ? Un groove indéniable aux contours ancestraux. Les harmonies lumineuses accrochent le public, l’agrippe, le porte et le transporte dans une transe délivrante. La recette de cet effet ? Fondé au Texas par Laura Lee (basse), Mark Speer (guitare) et Donald Johnson (batterie), le groupe puise son inspiration à travers le rock, les musiques du monde et le mouvement psychédélique. De croit façonner les contours du voyage qui a conquis le Lab !
La deuxième étape du voyage du soir a emporté le public dans le cocon délicieusement folk de l’américaine Cat Power. Six ans après sa première venue au festival, celle dont la voix aux contours soul caresse les tripes de l’auditeur a boulversé le Lab. C’est dire que le vague à l’âme vit dans la voix et l’interprétation de l’artiste. Dès les premières harmonies posées sur scène, une atmosphère mélancolique prend possession du Lab. Comme si les effluves d’autres mondes s’étaient joint au moment. Un silence religieux règne pour laisser place à la douceur des notes qui enrobent les mots chantés par Cat Power. Les émotions transmises sont si intenses qu’il est difficile de rester dans la salle. Non pas que le moment ne soit pas agréable : il est divin. Mais, la force de son interprétation et les fêlures de sa voix vont caresser l’âme dans ses tréfonds. Reprendre son souffle n’est qu’une des rares manières de se ressaisir pour capter au mieux la magie qui se produit sur scène. De retour au coeur du Lab, la synthèse du moment se dessine plus que jamais. Cat Power s’illustre par la simplicité de sa présence, par la puissance de son effet sur la salle et par son univers si envoûtant. Une chose est certaine, ce qu’elle a provoqué ce soir-là ne sera pas oublié de si tôt.
Crédit photos : © 2019 FFJM - Anne-Laure Lechat & Emilien Itim
Créé par Khruangbin, le premier voyage du soir a été composé de multiples influences musicales. Leur point commun ? Un groove indéniable aux contours ancestraux. Les harmonies lumineuses accrochent le public, l’agrippe, le porte et le transporte dans une transe délivrante. La recette de cet effet ? Fondé au Texas par Laura Lee (basse), Mark Speer (guitare) et Donald Johnson (batterie), le groupe puise son inspiration à travers le rock, les musiques du monde et le mouvement psychédélique. De croit façonner les contours du voyage qui a conquis le Lab !
La deuxième étape du voyage du soir a emporté le public dans le cocon délicieusement folk de l’américaine Cat Power. Six ans après sa première venue au festival, celle dont la voix aux contours soul caresse les tripes de l’auditeur a boulversé le Lab. C’est dire que le vague à l’âme vit dans la voix et l’interprétation de l’artiste. Dès les premières harmonies posées sur scène, une atmosphère mélancolique prend possession du Lab. Comme si les effluves d’autres mondes s’étaient joint au moment. Un silence religieux règne pour laisser place à la douceur des notes qui enrobent les mots chantés par Cat Power. Les émotions transmises sont si intenses qu’il est difficile de rester dans la salle. Non pas que le moment ne soit pas agréable : il est divin. Mais, la force de son interprétation et les fêlures de sa voix vont caresser l’âme dans ses tréfonds. Reprendre son souffle n’est qu’une des rares manières de se ressaisir pour capter au mieux la magie qui se produit sur scène. De retour au coeur du Lab, la synthèse du moment se dessine plus que jamais. Cat Power s’illustre par la simplicité de sa présence, par la puissance de son effet sur la salle et par son univers si envoûtant. Une chose est certaine, ce qu’elle a provoqué ce soir-là ne sera pas oublié de si tôt.
Crédit photos : © 2019 FFJM - Anne-Laure Lechat & Emilien Itim
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