Paléo 2019 - Part. IV
Sophia Bischoff - Chaleur et pluie : quelle alliance réjouissante pour ce vendredi de la 44ème édition du Paléo Festival de Nyon !
Après un parcours du combattant pour arriver sur la Plaine de l’Asse (les bouchons, tu connais ?), nos jolies baskets blanches gambadent enfin à Paléo. Une journée de festival qui commence et qui ne sait pas trop nous dire si l’on finira trempé de pluie ou d’humidité. L’heure tourne, on se dirige vers la Grande Scène alors que le ciel gronde. L’eau sera notre ami pendant la prochaine demi-heure. Nos baskets survivront, ne vous inquiétez pas !
Passé le quart d’heure de retard, on aurait pu se préoccuper de cette attente. Mais la sécurité prime : l’équipe de la Grande Scène s’active à éliminer les restes de cette pluie qui tente de s’incruster. Puis, la musique commence. Les mesures instrumentales s’enchaînent, font office d’un échauffement scénique et d’audience. Puis, celle que la foule attend en masse apparait.
Avec son minois de visage angélique, on s’attendrait à un univers de pop sucré aux paroles d’amour et de coeur brisé. Mais, même si la belge Angèle n’a que 23 ans, elle n’a rien d’une artiste sans saveur. Son univers est fun, ses paroles percutantes touchent les sujets les plus actuels. Sur la Grande Scène, elle rayonne et charme de son bonheur. Un petit air espiègle émane de son sourire. Sa performance est bien travaillée, ses musiciens et danseurs semblent prendre autant de plaisir qu’elle. Musicienne accomplie, elle passe aisément du chant au pad en passant par le piano. Le tout épicé de quelques parties dansées. Ses fans sont conquis. Nous, presque autant.
Sa fraîcheur nous fait du bien, le bonheur qui émane de chacune de ses notes aussi. On apprécie la mise en scène, les danses, l’atmosphère légère et sérieuse à la fois. Pourtant, un petit manque équilibre nous chatouille. La jeune belge enchaîne presque tous ses hits en première partie de concert. Parfait pour faire monter encore plus l’ambiance. Elle offre une moitié de « Balance ton quoi » en piano/voix. Un régal. Mais, malgré le talent qui règne sur scène. On aurait aimé qu’elle termine sa jolie performance sur un de ses nombreux hits. Histoire de nous coller définitivement son univers dans notre subconscient. Un détail qui aurait rendu ce moment encore plus réjouissant. Car, en les offrant dès le début, on a un senti l’ambiance s’essouffler un peu.
© Paléo / Nicolas Patault & Timon Bachmann
Passé le quart d’heure de retard, on aurait pu se préoccuper de cette attente. Mais la sécurité prime : l’équipe de la Grande Scène s’active à éliminer les restes de cette pluie qui tente de s’incruster. Puis, la musique commence. Les mesures instrumentales s’enchaînent, font office d’un échauffement scénique et d’audience. Puis, celle que la foule attend en masse apparait.
Avec son minois de visage angélique, on s’attendrait à un univers de pop sucré aux paroles d’amour et de coeur brisé. Mais, même si la belge Angèle n’a que 23 ans, elle n’a rien d’une artiste sans saveur. Son univers est fun, ses paroles percutantes touchent les sujets les plus actuels. Sur la Grande Scène, elle rayonne et charme de son bonheur. Un petit air espiègle émane de son sourire. Sa performance est bien travaillée, ses musiciens et danseurs semblent prendre autant de plaisir qu’elle. Musicienne accomplie, elle passe aisément du chant au pad en passant par le piano. Le tout épicé de quelques parties dansées. Ses fans sont conquis. Nous, presque autant.
Sa fraîcheur nous fait du bien, le bonheur qui émane de chacune de ses notes aussi. On apprécie la mise en scène, les danses, l’atmosphère légère et sérieuse à la fois. Pourtant, un petit manque équilibre nous chatouille. La jeune belge enchaîne presque tous ses hits en première partie de concert. Parfait pour faire monter encore plus l’ambiance. Elle offre une moitié de « Balance ton quoi » en piano/voix. Un régal. Mais, malgré le talent qui règne sur scène. On aurait aimé qu’elle termine sa jolie performance sur un de ses nombreux hits. Histoire de nous coller définitivement son univers dans notre subconscient. Un détail qui aurait rendu ce moment encore plus réjouissant. Car, en les offrant dès le début, on a un senti l’ambiance s’essouffler un peu.
© Paléo / Nicolas Patault & Timon Bachmann
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